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Jésus donne Sa vie pour nous

 

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ENSEIGNEMENT

 

. A votre avis, les paroles de Jésus plaisaient-elles aux pharisiens ? Pourquoi ?

Les pharisiens (savants et religieux juifs) étaient tellement attachés aux règles, à la loi, qu’ils se trompaient : ils oubliaient que le plus important n’est pas de tout faire parfaitement mais d’aimer comme Dieu nous demande d’aimer.

Jésus a voulu le leur faire comprendre à travers des histoires, comme la parabole du pharisien et du publicain, ou celle du bon Samaritain, que nous avons racontées la dernière fois.

Il l’a montré aussi en accomplissant des miracles même le jour du Sabbat, jour de repos demandé par le Seigneur : il est plus important aux yeux de Dieu d’aider une personne malheureuse que de se reposer par obéissance.

Il l’a montré en pardonnant à la femme adultère, que tous les pharisiens voulaient punir en la tuant à coups de pierres.

Les pharisiens dont les cœurs étaient pleins d’orgueil étaient donc très en colère contre Jésus ; ils voulaient se débarrasser de Lui et projetaient de Le tuer. Plusieurs fois ils ont essayé mais n’ont pas réussi, car ce n’était pas encore le moment pour Jésus de mourir : Il n’avait pas encore achevé Sa mission.

 

. Savez-vous quel moment Jésus a choisi pour donner Sa vie ?

Au moment de la Pâque juive. Pâque signifie « passage »

Chaque année, lors de cette fête, les juifs se souviennent que Dieu, en faisant un grand miracle, a libéré leur peuple qui était esclave des Egyptiens : conduits par Moïse, les Hébreux avaient traversé la Mer Rouge à pied sec.

 

. Devinez-vous pourquoi Jésus a choisi ce moment pour donner Sa vie ?

La Pâque juive, c’est le passage de l’esclavage à la liberté grâce au miracle des eaux qui s’ouvrent.

La mort de Jésus est elle aussi une Pâque : par le miracle de Sa Résurrection, elle est le passage de la vie sur terre à la vie du ciel, du corps souffrant de Jésus à Son corps glorieux, de la tristesse à la joie éternelle.

Comme Moïse guidant le peuple hébreu, Jésus entraîne à Sa suite tous ceux qui acceptent de Le suivre et de L’imiter, pour les sauver, les libérer. Si nous écoutons Ses paroles, si nous faisons ce qu’Il nous dit et si nous suivons Son exemple, Jésus nous délivre du mal : le mal et le péché nous rendent esclaves (ils nous rendent malheureux, et il nous est très difficile de nous en débarrasser). Jésus nous sauve en nous faisant passer de cet esclavage du péché à la liberté de l’amour (aimer me rend heureux, et c’est moi qui décide : personne ne peut m’obliger à aimer).

 

. Savez-vous ce que mangent les juifs le jour de la Pâque ? Pourquoi ?

Du pain sans levain, et un agneau pur, sans tache : c’est ce que Dieu avait demandé aux Hébreux de manger avant de fuir d’Egypte.

Un agneau, c’est tout fragile, c’est innocent.

Les Hébreux tuaient parfois des agneaux pour les offrir en sacrifice : au lieu de les manger, ils en faisaient cadeau à Dieu, pour Le remercier ou se faire pardonner quelque chose.

Le prophète Isaïe avait annoncé que le Sauveur serait justement « comme l’agneau qu’on mène à l’abattoir ». C’est pourquoi quand Jean le Baptiste, au bord du Jourdain, a montré Jésus à André et Jean en leur disant : « Voici l’agneau de Dieu », ils ont compris que Jésus était le Sauveur annoncé par les prophètes, et ils L’ont suivi.

En effet Jésus S’est fait pour nous l’agneau sans tache (sans péché, innocent) que Dieu sacrifie pour nous sauver du péché, en même temps qu’Il nous Le donne en nourriture : parce qu’Il nous aime, Jésus, qui est innocent, qui n’a jamais fait de mal, a accepté d’être sacrifié, condamné injustement, de souffrir et de donner Sa vie pour nous sauver du péché, nous qui faisons tant le mal.

C’est pourquoi à la messe nous chantons « Agneau de Dieu, qui enlèves le péché du monde, prends pitié de nous »

. Savez-vous dans quelle ville les juifs fêtaient habituellement la Pâque ?

A Jérusalem. Il y avait donc beaucoup de monde dans cette ville au moment de cette fête. Comme beaucoup d’autres juifs, Jésus est venu à Jérusalem avec Ses disciples.

 

. Jésus est-il passé inaperçu au milieu de la foule ?

Il a été accueilli et acclamé par une foule nombreuse, les gens agitaient de grandes branches de palmiers, des rameaux d’oliviers, et mettaient par terre leurs manteaux pour Lui faire un beau tapis royal. Ils criaient : « Hosanna ! Béni soit Celui qui vient au nom du Seigneur ! Hosanna au plus haut des cieux ! »

Jésus aurait pu monter sur un grand et beau cheval, pour montrer qu’Il était le Roi de l’univers, tout puissant. Mais Il a préféré humblement monter un petit âne (un ânon), pour nous montrer qu’Il n’est pas un roi à la manière des hommes : Il ne cherche pas à ce qu’on L’admire ou qu’on Le craigne, Il ne veut pas S’imposer par la force.

 

. Savez-vous quand les chrétiens se souviennent particulièrement de cette entrée triomphale de Jésus à Jérusalem ?

Le dimanche des Rameaux : le dernier dimanche avant celui de la Résurrection

Mais aussi tout au long de l’année, à chaque messe, nous redisons les paroles de la foule venue acclamer Jésus le jour des Rameaux : « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Hosanna au plus haut des cieux ! » (nous les chantons juste avant d’entrer dans la prière eucharistique : pendant cette prière, nous rappelons ce qui s’est passé après le jour des Rameaux, et que nous allons voir maintenant)

 

. Voyez-vous ce que font ces deux hommes ? Qui sont-ils ?

Jésus a demandé à deux de Ses disciples (Pierre et Jean) de préparer la salle pour le repas pascal du jeudi soir.

En latin, le repas du soir se dit « cena ». C’est pourquoi on appelle ce dernier repas de Jésus la Sainte Cène

 

. Pendant ce temps, savez-vous ce que faisait Judas, un des 12 apôtres ?

Il est allé trouver les chefs des prêtres pour leur proposer de leur livrer Jésus : en échange de 30 pièces d’argent, il leur montrerait le lieu où ils pourraient aller chercher Jésus afin de l’arrêter.

 

Faire écouter « Par amour pour nous »

C’est par amour pour nous que Tu as donné Ta vie, c’est par amour pour Toi que nous prions aujourd’hui.

Pour un dernier repas, Tu rassemblas Tes amis, en leur lavant les pieds, à genoux Tu leur as dit : « Faites-vous serviteurs, faites comme Moi. »       II Pause

 

 

 

Avant de se mettre à table, Jésus a lavé les pieds de Ses disciples pour leur montrer qu’il ne faut pas chercher à être le plus fort mais se faire le serviteur de tous.

 

C’est par amour pour nous que Tu as donné Ta vie, c’est par amour pour Toi que nous prions aujourd’hui.

Tu partageas le pain : « Prenez, et mangez-en tous », puis la coupe de vin : « Prenez, et buvez-en tous, c’est Mon corps et Mon sang que Je donne pour vous. »       II Pause

 

Jésus a pris le pain et le vin, et Il a rendu grâce, c’est-à-dire qu’Il a remercié Dieu pour ces dons qu’Il nous fait. En grec, cela se dit « Eucharistein ». Dans les mains de Jésus, et par Sa prière, le pain est devenu Son corps, qu’Il allait bientôt offrir sur la croix, et le vin est devenu Son sang, qu’il allait bientôt verser pour nous.

 

Jésus a invité les disciples à refaire ces gestes et à redire Ses paroles. C’est ce que font les prêtres à chaque messe, et à chaque fois, dans les mains du prêtre, se produit le même miracle : le pain et le vin deviennent le corps et le sang de Jésus.

 

Ensuite, Jésus a annoncé à Ses disciples que l’un d’eux allait Le livrer : celui qui se servait en même temps que Lui dans le plat. Judas est parti à ce moment-là chercher les chefs des prêtres pour leur livrer Jésus.

 

Jésus a alors prévenu les autres disciples qu’ils allaient vivre des moments très difficiles : quand Il serait arrêté, tous s’enfuiraient tellement ils auraient peur. Pierre promet qu’il ne L’abandonnera pas, mais Jésus lui répond : « Avant même que le coq ne chante, tu M’auras renié 3 fois. »

 

Ensemble, ils sont allés sur une colline proche de Jérusalem : le jardin des Oliviers, appelé Gethsémani. Là-bas, Jésus S’est mis à l’écart pour prier. Il a pris avec Lui Pierre, Jacques et Jean et leur a demandé de veiller et prier comme Lui. Mais eux se sont endormis, tant ils étaient fatigués et inquiets.

 

Pendant qu’Il priait, Jésus voyait tous les péchés des hommes, et tout le mal qu’ils allaient Lui faire. Il était tellement angoissé que des gouttes d’eau et de sang tombaient de Son front. Mais Il a accepté de souffrir tout cela pour nous sauver : Il priait ainsi : « Père, que Ta volonté soit faite. »

 

C’est par amour pour nous que Tu as donné Ta vie, c’est par amour pour Toi que nous prions aujourd’hui.

Tu priais au jardin quand les soldats sont venus, ils T’ont lié les mains, Tu ne t’es pas défendu ;

comme un simple voleur, ils T’ont mis en prison.                 II Pause

 

Jésus a laissé Judas venir à Lui et Le trahir par un baiser : c’était le signal que Judas avait donné aux soldats pour qu’ils reconnaissent Jésus.

La plupart des disciples s’étaient enfuis, terrifiés. Mais Pierre, lui, était en colère et refusait que l’on arrête ainsi Jésus. Pour Le défendre, il a attrapé une épée et tranché l’oreille d’un soldat. Jésus a alors guéri le soldat, puis a gentiment grondé Pierre en lui expliquant qu’il ne fallait jamais se défendre par la violence, et qu’Il offrait librement Sa vie, pour nous sauver.

Les soldats Lui ont attaché les mains comme à un dangereux bandit, alors qu’Il n’avait jamais rien fait de mal. Jésus n’a rien dit, Il S’est laissé faire.

Les soldats ont emmené Jésus devant Caïphe, le chef des prêtres.

Plusieurs juifs sont venus donner de faux témoignages sur Jésus : ils disaient du mal de Lui, ils racontaient sur Lui des choses fausses, ou pas tout à fait vraies, pour Le faire condamner.

 

Pendant ce temps, Pierre, qui avait suivi Jésus, attendait dehors, dans la cour, près du feu (car il faisait froid cette nuit-là). Plusieurs personnes l’ont reconnu, et lui ont demandé s’il n’était pas un ami de Jésus. Trois fois, Pierre a renié Jésus : parce qu’il avait très peur qu’on lui fasse du mal à lui aussi, trois fois il a dit qu’il ne connaissait pas Jésus. Juste après la troisième fois, le coq a chanté et Pierre s’est souvenu de ce que Lui avait prédit Jésus.

Il est alors sorti et a beaucoup pleuré : il avait tellement honte d’avoir trahi son Seigneur, d’avoir été si lâche ! Mais dans son cœur il a demandé pardon à Jésus. Judas, de son côté, s’est rendu compte aussi qu’il avait fait beaucoup de mal à Jésus en Le trahissant, mais lui n’a pas cru que Jésus pourrait lui pardonner, alors il s’est pendu. Le plus grand péché de Judas, ce n'est pas d'avoir trahi Jésus, mais de n'avoir pas eu confiance en Lui: de n'avoir pas cru que Jésus pouvait lui pardonner. Si Judas avait cru, comme Saint Pierre, que Jésus pouvait lui pardonner, il aurait pu devenir lui aussi un très grand saint. Si on croit toujours que Dieu peut nous pardonner et qu'on va se confesser, on peut devenir saint. Mais si on ne le croit pas, on devient très malheureux. Saint Pierre et Judas ont tous deux trahi Jésus, mais Pierre a eu confiance en la miséricorde de Jésus, tandis que Judas n'a pas osé y croire. Il faut toujours oser croire que Dieu peut nous pardonner, même si on a fait des choses très graves.

 

On a emmené Jésus voir le roi Hérode. Cet homme espérait voir un miracle, entendre des paroles merveilleuses de la bouche de Jésus, mais Celui-ci Se taisait. Hérode Lui a alors fait mettre une robe très blanche, que l’on faisait porter aux fous, pour se moquer de Lui. Puis il L’a renvoyé à Pilate, le gouverneur romain, pour qu’Il soit jugé.

Pilate a interrogé Jésus et s’est vite rendu compte qu’Il n’avait rien fait de mal et qu’Il ne méritait pas la mort. Il a donc essayé de Le relâcher : il avait l’habitude, à chaque fête juive, de libérer un prisonnier hébreu. Il a donc proposé aux juifs de libérer Jésus. Mais les chefs des prêtres ont fait crier à la foule : « Libère Barrabas, et crucifie Jésus ! Crucifie-Le ! » Ce Barrabas était un bandit, qui avait commis un meurtre.

 

C’est par amour pour nous que Tu as donné Ta vie, c’est par amour pour Toi que nous prions aujourd’hui.

Les bourreaux T’ont frappé, et se sont moqués de Toi, puis Tu fus condamné à mourir sur une croix. « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas. »      II Pause

 

Comme on ne pouvait normalement pas punir deux fois un condamné, Pilate a remis Jésus à ses soldats pour le faire fouetter. Il espérait ainsi que cette punition suffirait aux juifs et qu’ils ne chercheraient plus à faire mourir Jésus. Les soldats se sont moqués de Jésus : ils Lui crachaient à la figure, Lui donnaient des coups, Lui disaient toutes sortes de méchancetés... Jésus se taisait.

Puis ils L’ont attaché à une colonne et L’ont fouetté de toutes leurs forces. Jésus a offert Ses souffrances horribles pour nous sauver. Il priait pour Ses bourreaux.

 

Ensuite les soldats ont fait une couronne avec de grandes épines, et l’ont enfoncée bien fort sur la tête de Jésus. Ils lui ont mis un manteau rouge et ont recommencé à se moquer de Lui en disant : « Salut, roi des juifs ! »

 

Pilate a alors montré Jésus à la foule en disant : « Voici votre roi. Cet homme n’a rien fait de mal. ». Mais les juifs ont crié encore plus fort : « Crucifie-Le ! ». Par peur des juifs, Pilate leur a donné Jésus pour qu’ils le crucifient.

 

On a fait porter à Jésus la lourde croix sur laquelle Il devait être cloué. Le chemin vers la petite montagne – appelée le Calvaire (Golgotha en hébreu) – où Il devait être crucifié était très long, très pénible.

Sur ce chemin, Jésus a rencontré Sa mère, Marie. Comme elle souffrait de voir son enfant dans un état si horrible ! Et comme Jésus a dû avoir de la peine de voir Sa mère avoir tant de chagrin !

Une femme, Véronique, a eu le courage de venir jusqu’à Jésus pour Lui essuyer le visage et Le réconforter.

 

Jésus était épuisé : Il n’avait pas dormi de la nuit, et depuis Son agonie au mont des Oliviers, Il n’avait cessé de subir de grandes souffrances. Il est tombé plusieurs fois. Le chemin montait beaucoup. Il n’avait plus la force de marcher. Les romains ont alors appelé un homme, Simon de Cyrène, pour aider Jésus à porter Sa croix.

 

Arrivé là-haut, on a enfoncé de gros clous dans les deux mains et les deux pieds de Jésus pour L’attacher à la croix. Lui offrait toutes Ses souffrances en pensant à chacun de nous.

 

Des deux côtés de Jésus, on avait crucifié deux brigands. L’un d’eux se moquait de Lui, en Lui disant : « Si Tu es le Fils de Dieu, sauve-Toi Toi-même, et nous avec ! ». Mais l’autre répliquait : « Tais-toi ! Nous qui avons fait le mal, c’est juste que nous soyons condamnés. Mais Lui est innocent. » et il a ajouté : « Jésus, souviens-Toi de moi quand Tu seras dans Ton royaume. » Jésus lui a alors répondu : « Amen, Je te le dis, aujourd’hui même tu seras avec moi dans le Paradis. »

 

Les juifs continuaient à se moquer de Jésus, en Lui disant : « Si Tu es le Fils de Dieu, fais un miracle, descends de la croix ! » Jésus ne leur répondait pas, Il priait pour eux Son Père : « Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ! » A Ses pieds il y avait Marie, Sa mère, et Saint Jean, qui priaient et pleuraient.

 

C’est par amour pour nous que Tu as donné Ta vie, c’est par amour pour Toi que nous prions aujourd’hui.

Comme un agneau sans voix, Tu as marché vers la mort et, cloué sur le bois, Tu as livré Ton corps : « O père dans Tes mains, Je remets Mon esprit. »                II Pause

 

Au moment de mourir, Jésus a poussé un grand cri : « Père, en Tes mains Je remets Mon esprit ! ». Le ciel est devenu très sombre, la terre a tremblé. Un soldat s’est approché de Jésus et, voyant qu’Il était mort, il Lui a percé le cœur avec une lance. Du sang et de l’eau ont jailli du cœur de Jésus. Le soldat s’est écrié : « Vraiment, cet homme était le Fils de Dieu ! »

 

C’était le vendredi ; or le lendemain, le samedi, était le jour du Sabbat : ce jour-là, les juifs n’ont le droit de rien faire, surtout le jour de la Pâque. Les amis de Jésus se sont donc dépêchés de descendre Son corps de la croix.

Ils L’ont enveloppé dans un grand drap, puis L’ont emporté dans le tombeau que s’était fait aménager un riche ami de Jésus, Joseph d’Arimatie. Ils n’ont pas eu le temps de parfumer le corps de Jésus car déjà le Sabbat allait commencer, et ils devaient vite rentrer chez eux. Ils ont donc roulé une grosse pierre devant le tombeau en attendant de revenir parfumer Son corps, le dimanche.

 

C’est par amour pour nous que Tu as donné Ta vie, c’est par amour pour Toi que nous prions aujourd’hui.

 

 

 

TEMPS DE PRIERE

 

. On fait dire aux enfants la prière en la leur faisant répéter phrase après phrase :

Jésus, Toi qui n’as jamais rien fait de mal, Tu es traité comme le pire des bandits.

Toi qui es tout puissant, Tu Te laisses faire.

Tu pardonnes à ceux qui Te font du mal.

Tu donnes Ta vie pour me libérer du péché. Merci Jésus de m’aimer tant.

Aide-moi à aimer et à pardonner comme Toi.

 

. On leur fait chanter le refrain

Je T’aime, ô Jésus, quand je Te vois souffrir pour moi,

Je T’aime et je voudrais rester près de Toi.

Je T’aime, ô Jésus, quand je Te vois porter la croix,

Je T’aime et je voudrais rester près de Toi.

Je T’aime, ô Jésus, quand je Te vois mourir en croix,

Je T’aime et je voudrais rester près de Toi.

Par amour pour nous -
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Je t'aime ô Jésus -
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